Quel matériau choisir pour mon impression ?
Maintenant que vous avez les fichiers 3D, il ne reste plus qu’à passer commande ! Mais quel matériau choisir entre les filaments et la résine ?
L’impression FFF (filaments) se produit grâce à la superposition des couches de filaments. La chaleur les ramollis afin d’être déposés de manière précise, on parle de transition vitreuse. Ils sont rendus mous afin d’être déposés de manière précise. Les imprimantes FFF sont les plus populaires car ce sont les moins chères et les matériaux sont relativement bon marché. De plus, de nombreuses couleurs sont disponibles, vous pouvez donc imprimer vos objets selon vos goûts ! Néanmoins, l’impression FFF est peu précise et solide, si l’objet est trop lourd, il risque de se déformer au fur et à mesure de l’impression. Il faut donc favoriser l’impression FFF si vous voulez expérimenter un objet, en faire un prototypage rapide et peu cher avant de réaliser son impression ou si la précision, le détail et la finition ne sont pas des critères cruciaux pour votre objet.
L’impression SLA (résines) utilise quant à elle un photopolymère (la résine liquide) qui se rigidifie au contact de la lumière UV. Le choix des résines (et des couleurs) est assez restreints puisque souvent elles sont exclusives et ne peuvent être utilisées que sur un seul type de machine précise, d’une marque spécifique. La résine a souvent un usage professionnel car les caractéristiques de chacunes d’entre elles sont hautement spécialisées: dentaires, industrie, forte résistance à la chaleur, etc… Si vous cherchez à obtenir un objet avec des détails et à avoir un rendu assez esthétique, les imprimantes SLA sont plus adaptées à vos besoins. Lors de l’impression, la force exercée est assez faible ce qui permet à l’objet d’avoir une surface bien lisse et permet d’ajouter de nombreux détails à la pièce imprimée.
Si aucun de ces deux procédés ne semble convenir à votre projet, nous pouvons vous accompagner sur des technologies plus industrielles.
Maintenant que vous savez vers quel procédé d’impression vous tourner, il ne vous reste plus qu’à choisir le matériau qui sera le plus adapté à vos attentes.
Impression FFF (filaments):
ABS : L’ABS est un plastique utilisé depuis des années car c’est une matière assez robuste. En effet, il résiste à la chaleur, aux impacts et son coût de production est assez bas. Imprimer en ABS vous permettra d’apporter des finitions lisses à votre projets. Néanmoins, les pièces ont tendances à se rétrécir ce qui cause une incertitude dimensionnelle. Il peut être intéressant d’imprimer en ABS si vous devez imprimer de petits objets comme des figurines par exemple. Pour vous donner une idée de la résistance d’une pièce imprimée en ABS, les LEGO sont imprimés avec ce matériau et reçoivent de nombreux chocs sans se casser.
Il existe également des filaments ASA qui ont les mêmes propriétés que l’ABS mais avec une résistance accrue aux UV.
PLA : Comme l’ABS, le PLA imprime des pièces très solides mais permet une meilleure précision dimensionnelle. Les pièces fabriquées en PLA se conservent très bien et mettent longtemps avant de s'abîmer. De plus, c’est un matériau respectueux de l’environnement et biodégradable car fabriqué à partir de céréales comme le maïs par exemple. Néanmoins, ce matériau a une faible résistance à la chaleur, c’est pour cela que des ventilateurs de refroidissement sont indispensables car l’objet risque de couler. Le PLA ne conviendra donc pas si vous voulez imprimer un objet qui sera exposé au soleil comme un pot de fleur par exemple. Si vous souhaitez imprimer des pièces décoratives, le PLA est fait pour vous.
Flexible : Les filaments flexibles sont un mélange de plastique et de caoutchouc ce qui permet de rendre l’objet souple et résistant aux chocs. Le degré d’élasticité varie selon le type de TPU, certains sont juste souples et d’autres donneront un rendu très élastique à l’objet. Ainsi, les filaments flexibles sont très intéressants si vous cherchez une longue durée de conservation pour votre objet ainsi qu’une très grande résistance aux chocs et aux vibrations si vous souhaitez imprimer une coque de téléphone ou un guidon de vélo par exemple.
PETG : Si vous cherchez un filament rigide, résistant à l’eau et aux produits chimiques, le PETG est fait pour vous ! De plus, il crée une surface lisse et brillante à l’objet et l’impression est peu coûteuse. Si vous souhaitez imprimer des objets étanches comme des pots de fleurs ou des bouteilles d’eau, le PETG est le filament qu’il vous faut !
Impression SLA (résines):
Standard: La résine standard est très intéressante si vous cherchez une impression de très grande qualité et résistante. De plus, l’impression SLA standard est très précise et offre un très bon aspect visuel de la pièce. Cette résine convient à tous les types d’utilisation si vous ne cherchez pas une caractéristique en particulier.
Calcinable: La résine calcinable est brûlée afin de créer des moules : cela permet d’offrir à l’objet un très haut niveau de détails pour un rendu très professionnel. Néanmoins
pour pouvoir effectuer ces impressions, un équipement spécifique est requis puisqu’il faut absolument disposer d’un four. La résine calcinable est très utilisée dans le milieu dentaire ou la joaillerie où on parle de fabrication à cire perdue. Elle sera parfaite si vous souhaitez créer des bijoux par exemple.
Flexible: Conçue pour imprimer des objets très élastiques, la résine flexible est très utile pour le prototypage. Elle offre une grande élasticité à l’objet fabriqué et possède une technologie de mémoire de forme. De plus, cette résine résiste aux chocs mais la qualité de l’objet peut être altérée à force de manipulation.
Haute Résistance (Tough): La résine Haute Résistance est principalement utilisée dans pour l’impression d’objets industriels car elle offre une résistance maximale. Elle est très souvent utilisée dans les domaines de l’ingénierie, la mécanique ou encore la robotique.
Haute température: Si vous cherchez une résine pouvant apporter une solidité importante à votre objet et qui lui permettra d’être utilisé en condition de chaleur extrême, la résine haute température sera parfaite pour votre projet. Cette résine est très rigide mais elle casse facilement en cas de flexion. Si vous souhaitez imprimer des objets qui seront exposés au soleil ou à une forte température comme par exemple un objet ayant besoin d’être stérilisé, la résine haute température saura faire naître votre projet.
Durable: Si vous avez pour projet de réaliser un objet qui sera mis à rude épreuve, la résine durable sera parfaite pour vous ! Cette résine offre une très bonne résistance aux chocs, elle est extrêmement résistante à la déformation donc même après de multiples manipulations, l’objet ne sera pas déformé.
Transparente: Enfin, si vous souhaitez réaliser un vase par exemple, les pièces peuvent devenir transparentes avec un traitement adéquat (ponçage, polissage, vernissage..) si vous utilisez de la résine transparente.
Vous avez trouvé le matériau qui conviendra à votre projet ? Il ne vous reste plus qu’à prendre contact avec un maker de la communauté de Partage3D !
Des visières de protection imprimées en 3D pour éviter les contaminations
Afin de lutter contre la pandémie de COVID19, la mairie du XVème arrondissement de Paris a décidé d'aider à son échelle en imprimant du matériel de protection à destination du personnel soignant. Partage3D a donc décidé de rejoindre ce projet en aidant à superviser l'opération.
Ce n’est pas moins de 17 imprimantes 3D qui fonctionnent du matin au soir pour confectionner du matériel de protection. Environ 300 visières sont imprimées chaque jour grâce aux bénévoles présents pour assurer le bon fonctionnement de la ferme d’impression 3D. Mais face à la demande et à la perpétuelle évolution des modes de fabrications, il se pourrait que la production s’intensifie et que les machines se mettent à imprimer jour et nuit.
Les soignants manquent cruellement de matériels de protection notamment de masques et de lunettes. Même si nous ne pouvons pas en fabriquer à proprement parler, il existe des alternatives notamment les visières de protection. Elles regroupent de nombreux avantages puisqu’elles permettent de protéger efficacement les soignants des postillons mais elles peuvent également être désinfectées et réutilisées. Les visières sont imprimées à partir d’un fichier européen standardisé et leur efficacité a donc été validé.
Mais cette mini-usine ne peut fonctionner sans personnes compétentes. Aujourd’hui Partage3D cherche des personnes ayant des connaissances en impression 3D pour venir encadrer et superviser cette production. Si vous cherchez un moyen d’apporter votre pierre à l’édifice et contribuer à aider les soignants tout en étant rémunéré, contactez-nous ! Vous pouvez également devenir Volontaire COVID19 afin d’être contacté en cas de besoin urgent de production de pièces liées au COVID19.
Vous pouvez télécharger le fichier utilisé directement sur Partage3D.fr en format STL .
Projet Volontaire COVID19 : Poignées de Porte Main-Libre pour Hôpital - Aide aux Soignants
Suite à l'appel à mobilisation de Partage3D.fr le 22 mars 2020, plus d'une centaine de makers se sont montrés disponibles pour produire des objets en 3D en vue de lutter contre la propagation du coronavirus. Lorsqu'un hôpital des Hauts-de-Seine(92) nous a contactés nous étions prêts à œuvrer pour aider les équipes médicales sur le terrain.
Les soignants n’osent plus toucher les poignées de portes de peur d’être contaminés et sont obligés de se contorsionner pour les ouvrir et fermer. Leur demande était de pouvoir installer des poignées de portes main-libre afin de faciliter les allées et venues du personnel au sein de l’hôpital.
Le modèle de poignées de porte main-libre initialement choisi par l'ingénieur biomédical était proposé par Materialise, le cylindrical narrow, mais celui-ci ne convenait pas, il fallait améliorer :
- la facilité d'impression
- la rapidité d'installation
- le confort d'utilisation
- la solidité
- l'ergonomie
- la planéité (éviter le plus possible les cavités)
Les modeleurs 3D volontaires de Partage3D.fr se sont montrés particulièrement réactifs : en moins de 48h, le modèle était imprimé. Un canal de discussion a été créé pour que les 30 makers volontaires échangent sur la meilleure façon de faire. Un total de 16 fichiers différents ont été proposés. L'ingénieur biomédical à l'origine de la demande n'avait plus qu'à faire son choix, qui s'est porté sur la version de Loboastro (voir tableau). Une impression test a été réalisée et expérimentée à l’hôpital. Projet validé ! Une première commande de vingt pièces a été passée et redirigée vers les volontaires pour l’impression.
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Au cours de ces itérations, une question relative au milieu d'application s'est posée : comment supprimer l'aspect poreux des pièces imprimées en 3D ? En effet, dans un hôpital, même en contexte de crise, on ne peut se permettre de mettre en place un système qui ne répond pas à un minimum de normes d'hygiène. Or les objets imprimés en 3D sont par nature poreux car constitués d'une multitude de couches, ce qui favorise le développement de bactéries et complique le nettoyage. Le solution proposée et validée a été la suivante :
- Préparation d'un ABS Slurry
- Impression en ABS
- Enduit de la pièce avec le mélange d'ABS et d'acétone.
Ce projet est réplicable à toutes les structures qui en ont besoin, voici les fichiers :
- Télécharger depuis Partage3D.fr : format STEP ou format STL
- Télécharger depuis Thingiverse
Toute l’équipe de Partage3D remercie vivement l’ensemble des participants au projet, leur investissement et la rapidité avec laquelle ils ont œuvré. Le personnel de l’hôpital est également très reconnaissant pour ce travail et remercie également les volontaires pour leur implication !
Makerfaire Paris 2018
[UPDATE] Merci à vous tous d'être venus si nombreux pour discuter et #partager autour de notre #imprimante3d !! <3
Cité des sciences et de l'industrie
Du vendredi 23 au dimanche 25 novembre 2018
Les Makers sont de retour à Paris, pour participer au salon qui leur est dédié. Venez les rencontrer car c’est aussi le rendez-vous des curieux !
En fait, plus vous êtes néophyte, plus vous risquez d’être émerveillé et de vouloir y rester les trois jours. De plus en plus ludique et pédagogique, c’est l’occasion d’emmener votre famille pour l’initier au plaisir du Do It Yourself. Vous pouvez également rencontrer des professionnels pour discuter de vos projets.
Nous y serons à partir de vendredi jusqu’à dimanche. Passez-nous saluer si vous nous reconnaissez !
Tour d'horizon de l'impression 3D
Dessin par Justine TACO, étudiante en Mastère ITMP à l'ESIEE
L’imprimante 3D fonctionne par addition de matière. Cette technique se différencie des tradionnels moulages, retraits de matière ou autres assemblages de pièces. En fonction de la technique d’addition utilisée on retrouve plusieurs noms un peu obscurs (jet, stéréolithographie, frittage…). La matière peut effectivement être déposée sous forme de poudre puis fondue à l’infrarouge ou à l'ultraviolet, ou bien déposée directement sur la couche précédente par dépôt de filament fondu…
Le procédé additif apparaît dans les années 1980, se développe à partir de 1990 grâce à l’usage pointu qu’en fait la recherche médicale. Dans les années 2010 on commence à parler des imprimantes 3D dans des domaines plus larges et la démocratisation se fait petit à petit. En 2013, la planète entière prend connaissance de la machine 3D à cause du buzz concernant la fabrication d’armes à feu en plastique et la diffusion de plans accessibles à tous sur internet. Plus récemment, et de manière plus positive, les maisons imprimées en 3D font l'unanimité.
Aujourd’hui, un large choix de matières est imprimable. Plusieurs types de plastique, qui vont se différencier au niveau de la dureté et de la solidité ou encore de la résistance face à certains abrasifs ; du métal, du bois, des matières comestibles et même des tissus organiques. Le plastique est la matière qu’utilise principalement les imprimantes grand public. Ce type d’imprimante devient aujourd'hui de plus en plus abordable, certains modèles se vendent même une centaine d'euros.
L’imprimante 3D revêt une dimension « sympathique », mais pour quelles raisons certaines personnes l’utilisent ? Il existe un large panel d’usages de l’impression 3D. Pour l’art, pour l’utilité, pour la science, pour le fun…
De façon générale, les objets les plus fréquemment imprimés sont des prototypes de toutes sortes : chaussures, voitures, innovations technologiques ou techniques, maquettes, objets d’art, figurines, objets pratiques, pièces vouées à la réparation d’objets, prothèses, etc. On retrouve en marge de cette liste des créations vraiment incroyables : entre les organes viables, la nourriture, les maisons, etc, on pourrait croire que tout est possible !
Que ce soit pour un objectif professionnel ou personnel, on retrouve beaucoup d’avantages à créer en 3D. C’est économique si l’on pense aux prototypes scientifiques/ technologiques, où l’on évite les frais liés aux économies d’échelle lorsque l’on teste un projet. Du côté personnel, fabriquer une petite pièce faisant partie d’un tout pour éviter de racheter l’ensemble est aussi un avantage, et un plus pour l'environnemental ! Avec la 3D, on peut enfin tirer la langue à l’obsolescence programmée. Si on va dans les extrêmes, on peut même recycler ses déchets plastiques pour fabriquer de la bobine de filament destinée à l’impression 3D ! Fascinant.
Le must des avantages est bien sûr de pouvoir concevoir selon votre idée. A votre tour, devenez Géo Trouvetout et façonnez, créez ! Vous pouvez également trouver puis modifier des objets en open source : voir notre article à ce sujet.
Où trouver des fichiers 3D destinés à être imprimés ?
Où trouver des fichiers 3D destinés à être imprimés ?
L'équipe de partage3d.fr vous a sélectionné un panel de sites internet où il est possible de faire de véritables trouvailles de fichiers 3d, à utiliser tels quels ou à modifier ensuite.
Nous vous souhaitons de fructueuses recherches !
- Thingiverse
plateforme lancée par MakerBot contenant aujourd’hui plus de 3 millions de fichiers en ligne.
Langue : anglais
Plateforme de partage de fichiers 3D en contenant aujourd’hui plus d’un million et demi. Des ingénieurs sont à l’origine de ce partage. Vous pouvez alors retrouver plusieurs format d’un même projet, qu’il soit d’origine aéronautique, décoratif, architectural… etc et le modifier à votre convenance. Il existe sur cette page des tutoriels.
Langue : anglais
- Sketchup 3D Warehouse
Plateforme spécialisée dans l’architecture, transport et mobilier. Attention à modifier le fichier sur SketchUp pour lui donner des caractéristiques permettant l’impression 3D.
Langue : anglais
https://3dwarehouse.sketchup.com/
- Turbosquid
Plateforme contenant des modélisations de toutes sortes de grande qualité (très précis). Cependant les modèles, souvent payants ne sont pas tous exploitables directement et parfois carrément inutilisables car non modifiables.
Langue : anglais
- Sketchfab
Belle bibliothèque de personnages de jeux vidéo, accessoires, statues, animaux, architecture… Seule une partie est téléchargeable.
Langue : anglais
- Youmagine
Toutes sortes d’objets, tous destinés à être fabriqués avec une imprimante 3D.
Langue : anglais
- 123D
Lorsqu’un utilisateur du logiciel de conception 123Design termine sa conception, il lui est proposé de l’enregistrer sur la plateforme en ligne. Elle regroupe donc un panel de fichiers modifiables, pas toujours aboutis mais on trouve parfois de bonnes surprises. Il existe également la bibliothèque 123Make, 123Scultp, Mesh Mixer, Project Charmr.
Langue : anglais
- Pinshape
Site dont le fonctionnement est similaire à pinterest. On y propose toutes sortes d’objets destinés à être imprimé en 3D. Des fichiers de décoration/design aux bijoux en passant par des figurines de fiction, vous pouvez tout trouver. Les fichiers sont souvent gratuits, parfois payant.
Langue : anglais
- Cults
Egalement destiné aux impressions 3D, le site est instinctif et complet, proposant toutes sortes de fichiers 3D.
Langue : français
- Wikifab
Site de partage de tutoriels, pour tout faire soi-même. Basé sur la communauté et le partage. La bibliothèque concernant les fichiers et objets à créer en 3D en est à ses débuts mais est très prometteur.
Langue : anglais et français
- Additiverse
Plateforme regroupant des ventes de matériel 3D, machines et consommables, actualités relatives au monde de la 3D ainsi que des fichiers 3D pour impressions, gratuits ou payants.
Langue : français
http://www.additiverse.com/fichiers-3d/
- My Mini Factory
Site 100% gratuit, fonctionnant en communauté. Les plans partagés sont toutefois vérifiés et validés par l’équipe pour vous en garantir la qualité. Vous pouvez même vous initier en live à la modélisation sur l’onglet « create ». Le site met en place et relaie toutes sortes de compétitions de création où des prix intéressants sont mis en jeu.
Langue : français
https://www.myminifactory.com/fr/
- 3Dagogo
Plateforme proposant différentes sortes de fichiers 3D, souvent payants à petits prix, parfois gratuits.
Langue : anglais
Grosse bibliothèque de plus d’un million de fichiers 3D.
Langue : anglais
Moteur de recherche de modèles 3D plus ou moins complexes. Vous pouvez sélectionner la précision du modèle en question (easy : sans modifications avant impression jusqu’à hard s’il est nécessaire d’apporter des changements importants au modèle). Le système de prévisualisation en ligne est un petit plus.
Langue : anglais
Site proposant des des modèles 3D pour différentes utilisations. Un onglet est dédié aux impressions 3D et répertorie des fichiers de qualité, qui sont payants.
Langue : anglais
Moteur de rechercher de pièces 3D, gratuites ou payantes selon les cas.
Langue : anglais
Vous connaissez un site partageant des fichiers 3d qui n’est pas répertorié dans cet article ? N’hésitez pas à poster un commentaire ou à nous contacter pour un éventuel ajout !